lundi 21 décembre 2015

Alors Voilà, les 1001 vies des urgences - Baptiste Beaulieu

Synopsis : Alors voilà le récit au quotidien d'un apprenti médecin qui joue des claquettes entre les différents services des Urgences avec ses co-internes. Là, pendant sept jours, il décrit à une patiente en stade terminal ce qui se passe sous les blouses et dans les couloirs. Pour la garder en vie le temps que son fils, bloqué dans un aéroport, puisse la rejoindre.
Se nourrissant de situations bien réelles, vécues par lui ou par ses collègues, chirurgiens ou aides-soignants, Baptiste Beaulieu passe l'hôpital au scanner. Il peint avec légèreté et humour les chefs autoritaires, les infirmières au grand cœur, les internes gaffeurs, les consultations qui s'enchaînent, les incroyables rencontres avec les patients...
Par ses histoires d'une sensibilité folle, à la fois touchantes et drôles, il restitue tout le petit théâtre de la comédie humaine. Un bloc d'humanité.


J'ai, comme beaucoup de monde, beaucoup entendu parler de ce livre. Ceci dit, l'univers hospitalier et moi ça fait 2. Je ne peux déjà pas accrocher à une série télé qui se passe à la télé, alors un livre... Mais bon, comme je ne voudrai pas mourir idiote, ou passer à côté de quelque chose, j'ai emprunté ce livre à ma meilleure amie. Du coup le voilà devant moi. 

C'est l'histoire d'un jeune interne à l'hôpital. Il nous décrit à travers ce livre, toutes ses rencontres aux urgences, et au travers des différents services dans lequel il évolue. Il évoque tout ceci, tantôt avec beaucoup d'humour, tantôt avec beaucoup d'émotion. Et tout çà avec un fil conducteur : la patiente de la chambre 7 du 5ème étage, patiente qui souffre d'un cancer et à laquelle ce jeune interne s'attache. Se relayant avec ses collègues, il l'accompagne dans sa fin de vie. 

C'est difficile de chroniquer ce livre. Il démystifie un peu le mythe des urgences, et permet de comprendre certaines choses. Il humanise tous ces médecins, infirmiers que l'ont peut être amené à cotoyer. Par moment, on rit, d'autres on essuie une larme. 

Après, ça ne sera pas un coup de coeur pour moi, mais comme je vous l'ai dis plus haut, l'hôpital et moi ça fait 2. Ceci dit, je trouve l'idée très originale et vraiment je tiens à saluer à travers cette critique, tout le personnel du milieu hospitalier, parce qu'ils font un boulot extraordinaire. Ils soignent, guérissent, accompagnent, dédramatisent.... Bref, pensez y la prochaine fois que vous irez aux urgences.


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