Synopsis : La jeunesse et la beauté, deux richesses qui d’ordinaire ne font que se dissoudre dans le temps.
Mais dans le monde où vit Edgaar Finker, la jeunesse et la beauté forment la monnaie avec laquelle on rémunère ceux qui accomplissent de grandes choses.
Un monde idéal, à bien des égards, un monde sans pauvreté, ni crime, ni police, un monde où le bonheur du plus grand nombre est la préoccupation de chaque instant.
Or un jour une main meurtrière frappe et une victime tombe. L’impensable est commis. Un meurtre. Il n’existe ni méthode ni institution pour l’élucider.
Edgaar Finker, le fonctionnaire qui a découvert le corps, se voit chargé de l’enquête. Il s’engouffre alors dans un dédale d’aventures qui lui révèleront les entrailles de ce monde à la plastique irréprochable.
Mais dans le monde où vit Edgaar Finker, la jeunesse et la beauté forment la monnaie avec laquelle on rémunère ceux qui accomplissent de grandes choses.
Un monde idéal, à bien des égards, un monde sans pauvreté, ni crime, ni police, un monde où le bonheur du plus grand nombre est la préoccupation de chaque instant.
Or un jour une main meurtrière frappe et une victime tombe. L’impensable est commis. Un meurtre. Il n’existe ni méthode ni institution pour l’élucider.
Edgaar Finker, le fonctionnaire qui a découvert le corps, se voit chargé de l’enquête. Il s’engouffre alors dans un dédale d’aventures qui lui révèleront les entrailles de ce monde à la plastique irréprochable.
J'ai fait la rencontre virtuelle de Victor Boissel sur Twitter. Il m'a gentiment proposé un troc littéraire : son livre contre une chronique. En amoureuse du troc et des livres, j'ai bien sûr accepté.
Nous voilà donc plongés dans un monde idéal, où la jeunesse et la beauté priment sur tout le reste. Un monde sans pauvreté où la criminalité n'existe pas. Alors quand on découvre le corps de Zacharie, assassiné, c'est le drame ! Qui a bien pu vouloir tuer Zacharie ? Qui a transgressé les règles ? A qui confier l'enquête ?
C'est Edgaar Finker, fonctionnaire qui va se voir chargé de cette affaire. On lui donnera un libre accès à toutes les instances existantes. Et plus il avancera dans l'enquête, plus ses découvertes bouleverseront ce monde où tout semble parfait.
C'est Edgaar Finker, fonctionnaire qui va se voir chargé de cette affaire. On lui donnera un libre accès à toutes les instances existantes. Et plus il avancera dans l'enquête, plus ses découvertes bouleverseront ce monde où tout semble parfait.
Je m'arrête là pour l'histoire, parce que je ne voudrais pas trop en dévoiler.
Bon, passons à mon ressenti. J'ai vraiment adoré ce livre ! Et pourtant ce n'était pas un pari gagné. En effet, la seule dystopie que j'ai lue est 1984 de Georges Orwell et je n'avais pas aimé plus que çà. Du coup je n'ai jamais réitéré l'expérience. Mais Victor Boissel sait nous plonger dans ce monde parfait. Sa plume, fluide, riche, agréable nous emmène là où nous n'aurions jamais pensé aller. Non seulement j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre, mais j'ai également fortement apprécié les messages qu'il véhicule. Tout en étant très éloignés de notre réalité, certains passages nous en rapprochent tellement qu'ils donnent à réfléchir. Les personnages sont nombreux mais on s'y retrouve facilement. Les personnages secondaires, tout aussi importants que les principaux. Certains plus attachants que d'autres. Notamment Violette que j'ai adorée. Et bien sûr, Edgaar, le personnage principal, qui m'a tout de suite plu. Les chapitres s'enchaînent bien, et plus on avance dans la lecture, moins on a envie de s'arrêter. A la moitié du livre, il m'a été impossible de le lâcher.
J'ai vraiment été bluffée par ce livre. Une dystopie habilement menée, avec une intrigue palpitante. Des rebondissements auxquels on ne s'attend pas, des émotions aussi et surtout. De la colère envers certains personnages et certaines attitudes ! De l'émotion beaucoup. Parce que dans ce livre, l'amour est présent. L'amour de l'autre, l'amour de son prochain, l'amour de son monde.
Bref, vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé ! Et j'ai eu la chance d'être accompagnée par Victor tout au long de ma lecture et d'échanger longuement avec lui. Et cet auteur gagne vraiment à être connu ! Si vous voulez un livre qui sort de l'ordinaire, un livre qui va vous faire voir votre monde autrement, eh bien un seul conseil : lisez- le !!
Je vous quitte avec mon passage préféré du livre :
Sais-tu qu'un objet aimé est un objet armé ? Sais-tu que plus tu aimes un
objet, plus tu l'équipes d'armes meurtrières qui peuvent se retourner
contre toi ? Qui se retournent contre toi. Plus tu aimes, plus tu
développes ton capital de souffrances potentielles.
Je suis une machine à souffrir, parce que je suis une machine à aimer.
Je suis une machine à souffrir, parce que je suis une machine à aimer.
Le site de Habeas Corpus : http://www.habeascorpus.fr
On en a pensé la même chose ^^ Très belle chronique :)
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